First day || PV Everybody

C'était encore les vacances mais les élèves de McKinley High School avait été convoqué dans le grand Gymnase qui servait à l'occasion d’Amphithéâtre et où une soirée avait été organisée pour la remise des diplômes. Peu motivée pour se rendre au Gymnase et retourner au Lycée alors que c'était les vacances, Joline prenait tout son temps. Son frère était déjà debout, tandis que leur petite soeur dormait encore tendrement dans son lit. Joly poussa la porte de la chambre de Cyrielle et regarda sa petite soeur dormir. Auparavant, ils ressemblaient encore à une fille alors que maintenant, ils ne leur restaient que les souvenirs. Lentement et doucement, Joline referma la porte de la chambre et descendit dans la cuisine prendre son petit-déjeuner. Il était inhumain de convoquer des élèves en vacances à 8h, pensait-elle. Après une simple tasse de café et une tartine, elle remonta dans sa chambre, passant devant le portrait de ses parents et elle murmura un : " Bonjour papa. Bonjour maman. ". Croyez la folle si vous le voulez, mais quand on a perdu ses parents étant jeunes, on doit composer avec ! Dans sa salle de bain, elle enfila un short en jean et un débardeur blanc, après avoir pris une bonne douche. Ses cheveux encore un peu mouillés retombèrent en cascade sur ses épaules, bouclés. Elle se contempla dans le miroir et pour fignoler sa tenue, elle se maquilla légèrement. Cyrielle se réveilla dans sa chambre d'après le bruit que pouvait entendre Joly'. Elle enfila des bensimons, laissant ainsi apparaître son bracelet de cheville qu'elle s'était offert récemment et elle alla voir Cyrielle, dans sa chambre et elle s'installa sur le lit de la petite fille, en attendant que son frère soit prêt. Puis, ils prirent tous trois le bus, une fois que Cyrielle était prête. Joly' serrait son sac contre elle. Avant d'arriver à McKinley, ils déposèrent Cyrielle chez une amie, où elle devait passer la journée. Arrivés à McKinley, Adrian rejoignit ses amis et Joly' alla s'asseoir dans le fond du Gymnase, dans les gradins. Peu d'élèves étaient arrivés pour le moment.

Ma journée d'aujourd'hui était totalement banale en ces vacances, je m'emmerdais chez moi jusqu'à ce que j'ai eu des nouvelles de ma meilleure amie, Joline, elle m'annonça que tout les élèves était convoqué a McKinley.Joly est ma meilleure amie, pour vous faire court, elle et moi on c'est connu quand je suis arrivé à Lima il à quelque années de celà. Nos deux caractères forts ont parfois fait des étincelles, mais la vie à fais que nous sommes devenues amies, même bien plus. Après avoir reçu ce message je sortie du canapé. J'avais passé la journée seule a la maison, ma mère était partie au travaille et mon beau-père également. Oui mon beau-père, du plus loin que je me souvienne je n'est jamais eu de père.Il nous a abandonné quand j'étais encore un bébé, il y'a plusieurs années de sa ma mère a rencontré Alex, il était en voyage d'affaire à Stanford, ma mère est tombé folle amoureuse de lui. Quelques mois plus tard ils se sont mariée, et nous avons emménagé à Lima. Je ne fit pas attention à l'heure mais j'allais surement être en retard. 30 minute, il me restait 30minutes pour me préparer. C'était jouable. Je passa un bon quart d'heure sous sa douche et en sortit toute fraiche. Mes cheveux ondulés s'harmonisaient à ravir avec mon visage. J'enfila une robe bleu lègerte,une veste en cuir noir enfilée à l’arrache et ouverte pour laisser le monde entier apercevoir mon magnifique décolté.Me maquilla legerement, laissant mes cheveux detacher. Une simple paire de converse et hop j'étais prête. Je pris la voiture d'Alex, pour me rendre au lycée. Une fois arrivée j'envoya un message à Joly' :

Spoiler:

Elle me répondit quelle était à l'enterieur, j'entra donc dans le grand gymnase et l'apperçu dans les gradin je me dirigea vers elle, et m'assie a son côté.

Joline avait envoyé un message à son amie : Ella Beckett, afin de la prévenir qu'il y avait un "rassemblement" à McKinley. Les professeurs devaient attribués les chambres sur le Campus, donnés les heures de cours pour chaque classe, et parler du règlement et des nouveaux. çà promettait d'être génial ! Mais non, je plaisante, ce serait ennuyant. Raison de plus pour qu'elle s'installe tout au fond des gradins. Elle pourrait envoyer des SMS, discuter avec ses amis ou alors encore mieux, finir sa nuit. Tiens, en parlant de SMS et d'amie, elle reçut un SMS d'Ella, après que Joly' l'ait prévenu de la convocation. Ella lui dit qu'elle était arrivée et lui demanda où était Joly'. Elle se dépêcha de pianoter sur son Blackberry et en à peines quelques secondes son message fut envoyé : ¤ Je suis dans le Gymnase, Ella. ¤. Elle continuait à s'ennuyer un peu seule dans la salle, quand elle reconnut Ella, qui venait de s'installer à côté d'elle. Elle déposa un bisou sur chaque joue de sa meilleure amie et s'adressa à la jeune Beckett : " El' ! Comment tu vas, aujourd'hui, ma belle ? ". Joline prit alors sa meilleure amie dans ses bras. Elle tenait à elle. " Dis, tu veux pas qu'on aille faire un tour dehors ? De toute façon, il manque des professeurs et des élèves, alors ils vont pas commencer. Et puis, c'est bientôt la rentrée, faut qu'on rencontre les nouveaux et qu'on fasse des ravages, parmi les mecs, tu crois pas ? ". Après avoir dit cela, un sourire apparut sur le visage de Joline.

Noah était sorti hier soir, il avait enfilé ses plus beaux apparats et s'était rendu dans un bar branché, avait bougé en boîte avec ses amis, et avait fini à une after chez les gens qu'il avait rencontré là-bas. La fête avait finie à 11 heures du matin, et s'étaient tous couché. Il avait dormi là-bas. Enfin dormi, façon de parlé. Il avait sympathisé avec une fille, et pendant que tout le monde dormais, eux, avaient discuté tranquillement pendant des heures, puis s'étaient tous deux endormis. Normal, ils étaient fatigué et avaient continué à boire et à fumer. Il s'était réveillé à 17h, tous les invités étaient partis, sauf quelque uns. Il avait demandé à prendre une douche, car Noah n'aimait pas être sale. Il devait ce rendre à ce truc pour l'école. [..] Lorsqu'il entra et vu Quinn. Un sourire béa s'afficha sur le visage de Noah, et on pouvait voir des étoiles qui pétillait dans ses yeux. Il n'avait pas l'habitude de voir Quinn de cette manière, il ne s'étaient d'ailleurs pas beaucoup vu depuis qu'ils avaient eu Beth ensemble, ce qui attristait énormément Noah

Il s'avança vers elle, le regard et le sourire figé.

« C'est pour quelle occasion que tu es si joliement vétûe ? »

Il lui prit la main pour la lever et l'attirer vers elle, lui fit un câlin afin de la saluer.

Depuis qu'elle s'était faite coupée les cheveux, elle ne pouvait plus enrouler une mèche autour de ses doigts. Quinnie passa simplement sa main dans ses cheveux et quand elle vit Puck, sa main resta suspendue dans ses cheveux quelques instants avant qu'elle ne laisse retomber sa main. Elle s'attendait forcément à le voir aujourd'hui puisque tous les élèves seraient présents mais la joie qu'elle ressentait en ce moment même n'était pas pour les autres élèves, c'était Puck qui la rendait heureuse. Beth était ce qui les reliait, c'était leur fille. Même si au départ, Queen avait voulu avorter, n'étant pas prête à avoir un enfant, et sa mère refusait de voir son enfant en avoir un, elle avait gardé Beth, bon ... entre temps, il y avait eu quelques complications mais voilà, Puck et Quinn avaient un enfant ensemble. Blonde comme sa mère, avec le sourire de son père. Un peu des deux ! Devant le sourire béat de Noah, elle ne put se retenir de sourire aussi, un beau et large sourire. Il fit quelques pas dans sa direction, tandis qu'elle franchissait les derniers mètres qui les séparaient. Elle sauta alors littéralement au cou du jeune homme, le serrant dans ses bras. Même s'ils n'étaient pas ensemble, cela ne voulait pas dire qu'ils ne pouvaient pas être proches !


Lucy Quinn F. || Puck ! Et bien ... Je ... Je compte aller au parc cet après-midi avec Beth, alors je me suis dit que c'est la tenue qui convenait le mieux. C'est mieux qu'une tenue de Cheerios, non ? Tu peux venir avec nous, si çà te tente ? Beth sera très contente et ... moi aussi, tu sais Noah. Et puis, je voulais pas arriver en jog' au lycée. Et toi, pour quelle raison es-tu si charmant ? ||


D'habitude, elle ne l'appelait pas Noah, cela arrivait rarement, elle l'appelait toujours ou plutôt très souvent Puck. Après lui avoir retourné la question qu'il lui avait posé, elle le regarda toujours en souriant. Tandis qu'elle s'était reculée de quelques pas, Puck lui prit la main et elle releva son regard vif vers Noah, qui l'attirait vers lui. Elle ne put s'empêcher de lui refaire un câlin en se mettant sur la pointe des pieds. Et bien, vous croyez qu'elle allait cacher sa joie à le voir peut-être ?

Les cours, les cours et toujours les cours. Je n'avais jamais vraiment apprécier l'école mais m'y étais toujours appliqué pour faire plaisir à mon père. A dix ans, l'idée même de me trouve encore à étudier à plus de 20 ans m'effreyais au plus au point. C'était quoi le but ? Qu'on passe notre vie dans des classes ou quoi ? Bon, bien évidemment, je ne comprenais pas encore à cet âge là mais je dois avouer qu'en grandissant, je n'aimais pas plus les cours. C'est ce que disent tout les jeunes on va dire, c'est certain. Seulement, lorsqu'on choisit une voix qui nous plait, les cours nous passionnent, nous entrainent et nous font oublier ce petit truc qui faisait que lorsqu'on était plus jeune on détestait l'idée même de se retrouver assis sur une chaise à écouter un prof' parler. J'avais naïvement cru qu'en faisans plaisir à mon père, je me ferais plaisir à moi-même également mais ce n'était pas le cas. Le droit m'interessait, je ne pouvais pas dire le contraire c'est sûr, mais cela ne me passionnais pas. Etre avocat ne me dérangeais pas, non, loin de là, c'était une idée d'avenir plutôt sympathique, mais j'avais toujours en moi cette envie de faire autre chose, de me lever un beau matin, d'hurler merde au monde entier, d'arrêter le droit et de me lancer dans la musique ou dans le sport ou même m'en aller dans un pays étranger pour vivre autre chose que cette petite vie préparée à l'avance par mon père, mais j'en arrivais toujours à me dire que le droit était surement finallement ce qui me correspondais le mieux. Lorsque j'apperçut, Effy, mon coeur faillit s'arrêter. La fille que j'aime, le mot est faible. Est à Lima. Là ou, Cook et moi nous somme rendu. Le destin m'aurait dis Cook, si il ne s'était pas volatiliser. Je m'asseillà à côté d'une fille. Je ne fis rien. Seulement, je fis bousculé son café qui se renversa sur mes basket montante.

« Putain de merde ! » beuglai-je